Samedi 15 juillet, 21 h église Saint-Martin, Lure

2 février 2023 Non Par Musetmemoire

La Passion selon Saint Jean

Johann Sebastian Bach

Reinoud Van Mechelen, ténor, l’évangéliste et direction musicale

Lore Binon, soprano

William Shelton, contre-ténor

Guy Cutting, tenor

Tomas Kral, baryton-basse, Jésus

Lisandro Abadie, baryton-basse, Pilate

 

a nocte temporis

Joanna Huszcza, premier violon

Elise Dupont, Izana Soria, Ortwin Lowyck, Marrie Mooij, Isabelle Verachtert, violon

Maia Silberstein, Hilla Heller, alto

Sien Huybrechts, Ana Fernandez Anguita, flûte

Antoine Torunczyk, Shunsuke Kawai, hautbois

Amélie Boulas, basson

Ronan Kernoa, violoncelle

Myriam Rignol, viole de gambe

Elise Christiaens, contrebasse

Julien Wolfs, clavecin

Marc Meisel, orgue

 

Choeur de Chambre de Namur

Elke Janssens, Juliette Perret, Mathilde Sevrin, soprano

Anaïs Brullez, Jonathan De Ceuster, Josquin Gest, alto

Sean Clayton, Jean-Yves Ravoux, Renaud Tripathi, ténor

Laurent Collobert, Emmanuel Junk, Samuel Namotte, basse

Benoît Colardelle, lumières

Après avoir chanté la Passion à de nombreuses reprises en tant qu’évangéliste avec des chefs tels que Herreweghe et Christie, Reinoud Van Mechelen présente sa propre sa vision de ce chef d’œuvre hors du commun.

La mise en musique des derniers jours de la vie du Christ est une tradition qui débute au début de la chrétienté. Les premières sources manuscrites remontent au IXe siècle. Le genre évolue peu jusqu’au XIVe siècle avec principalement l’introduction progressive de la différenciation des rôles (le narrateur, le Christ…).

C’est avec la réforme luthérienne au début du XVIe siècle qu’il gagne ses lettres de noblesse, à la fois en imposant que le texte soit chanté, non plus en latin, mais en allemand afin d’être compréhensible par tous, et surtout, sous l’influence de l’opéra italien, en développant une forme polyphonique beaucoup plus riche faisant désormais alterner récitatifs, airs et grandes pages chorales.

La Passion selon Saint Jean, composée en 1723-24 pour Leipzig fut la première œuvre de vaste dimension écrite pour cette ville où Bach s’était installé depuis peu et pour laquelle il écrira une bonne moitié de ses cantates ainsi que l’Oratorio de Noël.

Aujourd’hui encore, cette page majestueuse, qui frappe par la beauté des airs confiés aux solistes et par l’intensité de ses parties chorales, est considérée comme l’un des sommets du corpus du compositeur.

Réservation conseillée

06 40 87 41 39, festival@musetmemoire.com

Tarifs : 20 €, 15 € (adhérents Musique et Mémoire), 5 € (réduit)

anoctetemporis.org

Choeur de chambre de Namur

Avec le généreux soutien d’Aline Foriel-Destezet 

Avec le support du Tax Shelter du Gouvernement fédérale Belge

A nocte temporis bénéficie du soutien de Flanders – State of the Art

Le Chœur de Chambre de Namur bénéficie du soutien de la Fédération Wallonie-Bruxelles (service de la musique et de la danse), de la Loterie Nationale, de la Province et de la Ville de Namur. 

Il bénéficie de l’apport du Tax Shelter du Gouvernement fédéral de Belgique et Wallonie Bruxelles International.